« Je n’ai pas de cas de conscience ! J’ai derrière moi une longue expérience. Je fus toujours la défense. Mais je confonds volontiers la défense avec la justice. Il n’existe personne si odieux soit-il à nos yeux qui n’ait droit à être défendu – et sincèrement par un autre homme ».
Vincent MORO-GIAFFERI, tirée d’une interview reprise par RUDE-ANTOINE Edwige dans L’éthique de l’avocat pénaliste, P.15.

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